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TA-DAM ! Il y a un an, les pontes de Netflix annonçaient la fin des "vanity projects" chez le streamer numéro 1. Trop couteux ? Pas suffisamment récompensés ? Des films comme OKJA, THE IRISHMAN ou ROMA (pourtant loin d'être entièrement financés par la plateforme) n'ont plus leur place sous la bannière rouge. Depuis, Netflix signe de très gros chèques pour s'attacher les services de têtes d'affiches influentes sur internet, comme The Rock, Ryan Reynolds et notamment Chris Evans et Ryan Gosling, vedettes de THE GRAY MAN.Le MAN ON FIRE de Tony Scott semble faire des petits sur Netflix (on en a déjà recensé cinq) dont THE GRAY MAN, une itération à la sauce contre-espionnage. Blockbuster en ligne à 200 millions de dollars, mis en boîte par les frères Anthony et Joe Russo, le film semble surtout chargé de profiter de la lumière apportée par son équipe, auréolés du succès d'AVENGERS ENDGAME, plutôt que de servir le sous-genre dont il se réclame : l'actioner jouissif et bas du front.Yannick Dahan se lance dans cette