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Après WANTED - RECHERCHÉ MORT OÙ VIF, STEROIDS - LE PODCAST s’attaque à WANTED - CHOISIS TON DESTIN ! Aucun lien particulier entre les deux films, puisque le second est en réalité l’adaptation d’un comics de Mark Millar qui date de 2003. Outre le fait que le film de Timur Bekmanbetov entretient finalement un rapport assez tenu avec son matériau d’origine, il faut aussi signaler qu’il s’agit d’un pur produit de studio totalement formaté pour appater le jeune rebelle en mal de revendications. C’est du moins ce qu’en pense Stéphane Moïssakis, même à la revoyure. Mais Rafik Djoumi n’est pas d’accord et pour cause, c’est lui qui a choisis son destin, à savoir enregistrer un épisode sur un énième film d’action post-MATRIX d’autant plus tardif qu’il cite également FIGHT CLUB pour faire bonne mesure. Pourquoi ce choix ? Et bien, WANTED - CHOISIS TON DESTIN reste un petit plaisir coupable à ses yeux, et ce même s’il est totalement incapable de prononcer le nom du réali

Cette semaine, SALE TEMPS POUR UN FILM se penche sur le nouveau CANDYMAN réalisé par Nia DaCosta. Près de trente ans après le film de Bernard Rose, le producteur et co-scénariste Jordan Peele récupère le personnage créé par Clive Barker dans le but de faire une suite susceptible de faire évoluer la légende de ce croquemitaine plus tragique que ses comparses du cinéma horrifique. Dans les faits, ce nouveau film ressemble cependant à un remake qui redéfinit les origines du personnage au fil du récit, sans grande cohérence par rapport à ce qui a été raconté dans les précédents films. Et ce n’est pas le fait qu’il se compromette dans la dernière ligne droite pour tenter de recoller les morceaux avec la franchise qui permet à ce CANDYMAN d’être le bon petit film d’horreur qu’il aurait pu être. Au micro de Clémence Gueidan, Julien Dupuy, Erich Vogel, Marie Casabonne et Stéphane Moïssakis expriment leur opinion sur ce reboot qui n’assume pas vraiment ses propres choix !Présentation : Cl

Rafik Djoumi, journaliste chroniqueur de CAPTURE MAG vous propose DÉJA-VU et il a besoin de vous pour la produire !Dans DÉJA-VU, on s'intéresse à la mise en scène au cinéma à travers ses tropes récurrents, en remontant à leur origine, en expliquant leur évolution.L'intention est de montrer comment ce dialogue, qui résonne de film en film, nous raconte une histoire souterraine du cinéma. Soit quelque chose qui se produit sous nos yeux, dont nous sommes conscients, mais que l’on questionne rarement dans sa continuité.DÉJA-VU s’intéresse à la position du spectateur face à un film, à la façon dont on reçoit ces images et ce qu'elles nous transmettent. C’est pourquoi l’émission est tournée dans une salle de cinéma, Le Club de l’étoile, face à un écran. Une partie des extraits y sont projetés. D’autres extraits viennent enrichir et approfondir la démonstration, parfois avec une pointe d’ironie. Dans un rythme soutenu, tous ces extraits s’entrechoquent et font apparaître la complexité de ces figures de style.On pour

Prototype du « Buddy-movie » des années 80, 48 HEURES reste encore aujourd’hui un film solide, malgré ses presque quarante ans d’âge. D’une part, le duo Nick Nolte et Eddie Murphy fonctionne à plein régime, le premier assurant le côté rugueux du cinéma policier tandis que le second propulse l’intrigue sur les rives de la comédie de situation avec son sens inné de l’improvisation. D’autre part, Walter Hill déploie une charpente narrative solide et directe, émaillée des différents archétypes dont le genre va s’emparer au fil des années. Si l’on rajoute à cela quelques scènes d’action « à l’ancienne » très efficaces, une poignée de seconds couteaux qui radinent leurs tronches burinées au détour d’une scène et la musique très virile de James Horner, il n’en faut pas plus pour que Julien Charpentier et Stéphane Moïssakis y trouvent leur bonheur, encore aujourd’hui !#WalterHill #EddieMurphy #NickNolte Podcasts exclusifs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Plus de six ans après CHAPPIE, Neill Blomkamp propose enfin un nouveau long-métrage après les différents projets avortés (la suite directe d’ALIENS de James Cameron et ROBOCOP RETURNS) et autres tentatives expérimentales issues du studio Oats. Pour autant, DEMONIC ne sort pas en salles chez nous, mais directement en DVD, VOD et Blu-Ray chez Metropolitan Filmexport. Et malheureusement, le résultat n’est absolument pas à la hauteur des précédents films du cinéaste. Tourné durant l’été 2020 avec une certaine économie de moyens, DEMONIC tient du petit film d’horreur ambitieux, notamment parce qu’il propose des séquences en capture volumétrique. Mais là encore, Neill Blomkamp ne se donne pas les moyens de ses expérimentations, la faute à une écriture réduite au strict minimum, et au fait que chaque idée neuve proposée par DEMONIC n’est jamais pleinement exploitée. Au micro de Clémence Gueidan, Marie Casabonne, Erich Vogel et Julien Dupuy expriment leur profonde déception.Présentation : Clémence GueidanRédacteur en

En 2001, Hollywood considère que Jet Li est un effet spécial à lui tout seul ! Après le terrifiant de nullité ROMÉO DOIT MOURIR, la star virevoltante des IL ÉTAIT UNE FOIS EN CHINE continue sa percée sur le marché américain, avec un film dans lequel il se combat lui-même ! Une idée amusante qui donne lieu à un projet sobrement intitulé THE ONE et qui tombe totalement sous le sens étant donné qu’aucune autre star du cinéma d’action hollywoodien ne saurait vraiment tenir la distance face à lui. Et sur ce point, le film de James Wong délivre plus ou moins ce qu’on attend de lui. Reste que THE ONE convoque quelques chouettes idées de science-fiction qui auraient mérité d’être mieux exploitées, notamment ce concept de « multiverse » qui aurait pu surélever quelque peu l’écriture automatique du film. Mais il reste des véritables petits plaisirs dans THE ONE, et celui de voir Jet Li taper sur Jet Li n’est pas des moindres, si on écoute Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis !#JetLi #JasonStatham #CarlaGugino P

Gros mastodonte de cette rentrée cinématographique, DUNE de Denis Villeneuve cristallise toutes les attentes d’un public averti et recueille tous les suffrages – ou presque – de la presse, qu’elle soit française ou internationale. Est-ce à dire que le responsable de PREMIER CONTACT ou encore BLADE RUNNER 2049 a réussi le pari totalement insensé d’adapter l’œuvre fondamentale de Frank Hebert là ou même des pointures comme Alejandro Jodorowsky et David Lynch s’étaient plantés dans les années 70 et 80 ? Malheureusement, pour l’équipe de SALE TEMPS POUR UN FILM, cette nouvelle version de DUNE (première partie – ce qui n’est spécifié que dans le générique d’ouverture) n’est pas vraiment aussi « épique et monumentale » que le scande l’affiche particulièrement laide du film. Pour ceux qui sont très attirés par le style visuel de Denis Villeneuve ou qui espèrent encore quelque chose de sa part dans le domaine de la science-fiction à grand spectacle, on vous conseille franchement d’aller voir le film av

Alors que le cinéma d’action semble tout doucement sortir du schéma imposé par le succès et l’énorme popularité de PIÈGE DE CRISTAL (DIE HARD pour les intimes), le producteur Joel Silver se lance dans une énième variation du chef d’œuvre de John McTiernan, en proposant avec ULTIME DÉCISION une sorte de « DIE HARD dans un avion », reprenant à son compte le concept déjà exploité dans la petite série B PASSAGER 57 avec Wesley Snipes, dont nous vous parlions récemment. Mais malgré quelques éléments qui renvoient volontairement aux premières aventures de John McClane, ULTIME DÉCISION trace finalement sa propre voie, entre huis clos minutieusement raconté et démonstration de puissance militaire magnifiée par la superbe musique de Jerry Goldsmith. Et puis, comment ne pas succomber au casting trois étoiles d’un film mené par Kurt Russell, Halle Berry, David Suchet en méchant terroriste, John Leguizamo en barbouze et bien évidemment Steven Seagal, notre « Saumon Agile » préféré dans un rôle à la fo

Après quelques semaines de hiatus estival, SALE TEMPS POUR UN FILM revient pour commenter l’actualité cinématographique ! Et quoi de mieux qu’une belle interview de près d’une heure pour bien commencer la saison ? Cette fois, c’est au tour du réalisateur Yann Gozlan de répondre aux questions de Clémence Gueidan, Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis, pour parler de son nouveau film BOÎTE NOIRE, qui sort en salles ce 8 septembre 2021. Avec ce thriller de qualité, le réalisateur de l’excellent UN HOMME IDÉAL retrouve Pierre Niney, qui interprète ici un technicien du BEA chargé d’étudier la boîte noire d’un avion qui s’est mystérieusement écrasé dans le massif alpin. On vous conseille évidemment d’avoir vu le film avant d’écouter notre podcast, mais il faut savoir que nous avons décidé d’évoquer l’intrigue le moins possible, afin de nous concentrer sur la fabrication du film, notamment dans son écriture et sa mise en scène.Présentation : Clémence GueidanRédacteur en chef : Stéphane MoïssakisChroniqueurs :

La phrase d'accroche sur l’affiche américaine de PASSAGER 57 le proclame fièrement : « Toujours parier sur le noir » ! En 1992, la chose n’était pourtant pas si évidente lorsqu’il s’agissait de confier le rôle principal d’un film d’action à un acteur afro-américain. D’autant plus dans le cas de Wesley Snipes, plus connu à l’époque pour ses rôles dramatiques chez Spike Lee que comme un équivalent black de Sylvester Stallone ou Jean-Claude Van Damme. Bien en pris donc à la Warner de tenter le coup puisque le film se taille un joli succès au box-office, eut égard à son modeste budget. Et PASSAGER 57 imposera instantanément Wesley Snipes comme une action star à part entière, doté d’un style bien à lui, qu’il n’aura ensuite de cesse d’affiner de film en film jusqu’à la consécration avec BLADE, quelques années plus tard. Ce marqueur historique dans la carrière de son interprète principale reste le principal héritage de PASSAGER 57, qui apparaît aujourd’hui avant tout comme une petite série B certes p

Après avoir parlé en long et en large de la fameuse et très influente « trilogie des dollars » dans la première partie de ce podcast consacré à la carrière de Sergio Leone, l’équipe se retrouve à nouveau pour terminer cet épisode 33 de CAPTURE MAG – LE PODCAST avec une seconde partie spécifiquement consacrée à la trilogie « Il était une fois ». Cela concerne évidemment les deux énormes monuments que sont IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST et IL ÉTAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE, mais aussi le plus mal aimé IL ÉTAIT UNE FOIS LA RÉVOLUTION qui s’inscrit plus légèrement dans ce tryptique du fait de la traduction française de son titre. En faisant quelques apartés sur les productions comme MON NOM EST PERSONNE dont la paternité est contestée, ou encore sur les fameux projets avortés, Arnaud Bordas, Rafik Djoumi, Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis atteignent facilement les 2h30 réglementaires et il n’en fallait pas moins pour évoquer la carrière extrêmement influente de Sergio Leone, qui nous a quittés à

Difficile de parler de TORQUE – LA ROUTE S’ENFLAMME comme autre chose qu’un pur produit mercantile de son époque (le milieu des années 2000), puisqu’il s’agit d’un projet qui surfe de manière très cynique sur le succès des premiers FAST & FURIOUS en transposant la formule dans l’univers des motards plutôt que dans celui du Tuning. Son réalisateur Joseph Kahn – clippeur très couru de l’époque MTV – défend son projet comme une œuvre artistique jusqu’au-boutiste et le justifie par une mise en image numérique assez radicale, qui tente principalement de surpasser les « money shots » virtuoses de Michael Bay. Au final, il faut quand même reconnaître que TORQUE – LA ROUTE S’ENFLAMME tient de l’objet plus embarrassant que véritablement fascinant, du moins pour Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis. Et vous ? Podcasts exclusifs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Nous sommes en 1997 et malgré son background dans la comédie populaire (notamment à travers l’émission IN LIVING COLOR), Keenan Ivory Wayans se fantasme encore et toujours comme une star du cinéma d’action, égale à Bruce Willis et Wesley Snipes. Après avoir assisté Steven Seagal dans le buddy-movie L’OMBRE BLANCHE, le voici désormais en tête d’affiche dans le thriller d’espionnage WANTED – RECHERCHÉ MORT OU VIF, écrit par ses soins et réalisé par David Hogan, immortel réalisateur de BARB WIRE ! Est-ce que le film mérite une petite vision aujourd’hui et même l’enregistrement d’un épisode de STEROIDS – LE PODCAST, plus de 20 ans après sa sortie initiale ? Pour Yannick Dahan, c’est un petit film d’action conspirationniste pas très palpitant mais Stéphane Moïssakis n’est pas objectif puisque le méchant est incarné par Jon Voight en mode ANACONDA !Pour nous soutenir, une seule adresse : https://fr.tipeee.com/capture-mag/​#KeenenIvoryWyans #JonVoight #EricRoberts Podcasts exclusifs Hébergé par A

Grande première pour un épisode de notre podcast STEROIDS, puisque celui-ci a été enregistré en live et en public, à l’issue de la projection du film LE DERNIER SAMARITAIN, qui a eu lieu le samedi 10 juillet 2021 au Forum des Images, dans le cadre de la Colo Panic X Chroma. Pour l’occasion, Stéphane Moïssakis reçoit donc Karim Debbache pour parler du film de Tony Scott, qui fête ses trente ans cette année. Les deux loustics reviennent sur les énormes soucis de production du film, sur la réécriture du scénario orchestrée par le studio (mais exécutée par Shane Black) ou encore sur la pure mélancolie de ce néo-film noir travesti en buddy-movie comme la tendance du cinéma d’action le voulait à l’époque. Notons au passage l’excellente prestation de Bruce Willis qui n’avait pas encore lâché l’affaire et qui excelle dans le rôle de Joe Hallenbeck, détective privé dur à cuire totalement brisé par la vie. Bref, LE DERNIER SAMARITAIN est un petit classique du cinéma d’action des années 90 et on remercie l’équipe de Pan

Cette semaine, STEROIDS – LE PODCAST vous parle d’un temps que les moins de trente ans ne peuvent pas connaître : celui où Robert Rodriguez était encore considéré comme un réalisateur à fort potentiel. On a tendance à l’oublier, au vu des casseroles qui jonchent sa filmographie depuis vingt ans et de son attitude désinvolte (pour ne pas dire je-m’en-foutiste) vis-à-vis de son métier, mais le nom de Robert Rodriguez était régulièrement cité aux côtés de celui de Quentin Tarantino lorsque l’on évoquait la relève hollywoodienne. Il faut dire que le bonhomme avait habilement su construire sa propre légende avec EL MARIACHI, réputé à l’époque pour avoir coûté à peine 7000$. Logique donc que son passage à la cour des grands se soit fait avec DESPERADO, qui s’avère être la suite de son galop d’essai. Nanti d’un budget bien plus confortable, Rodriguez peut s’offrir une équipe technique digne de ce nom et commence à bâtir une famille de cinéma autour d’une poignée d'acteurs en vue : d’ailleurs à sa sortie en 1995

Même si Sergio Leone n’aura finalement réalisé que sept long-métrages dans sa carrière (huit, si l’on compte la co-réalisation du péplum LES DERNIERS JOURS DE POMPEÏ), certains d’entre eux sont si emblématiques qu’il fallait impérativement lui consacrer un épisode en deux parties. C’est ainsi que CAPTURE MAG – LE PODCAST : ÉPISODE 33 s’ouvre d’abord sur l’évocation de l’enfance du réalisateur en tant qu’enfant de la balle, puis ses débuts comme assistant-réalisateur sur des dizaines de productions internationales pour passer enfin à son travail de réalisateur sur LE COLOSSE DE RHODES, mais aussi et surtout sur la trilogie des Dollars. Pendant 2h40, Stéphane Moïssakis invite Rafik Djoumi, Julien Dupuy et Arnaud Bordas à parler de ces trois westerns emblématiques que sont POUR UNE POIGNÉE DE DOLLARS, ET POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS et enfin le chef d’œuvre total, LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND. C’est sur cette incroyable production que s’achève cette première partie, avant de nous lancer dans une autre tri

1h07 en apnée totale pour parler du controversé WATERWORLD, c’était vraiment le minimum requis pour tenter de réhabiliter le blockbuster mal-aimé de Kevin Reynolds, autrefois considéré comme le film le plus cher de tous les temps et de fait, précédé d’une réputation peu flatteuse avant sa sortie en fanfare durant l’été 1995. D’abord pensé comme un petit budget proposé à Roger Corman, ce MAD MAX sur l’eau souffre effectivement de sa réputation de production mastodonte parfois incontrôlable, de l’aura de sa star principale, Kevin Costner, alors au sommet de la chaîne alimentaire hollywoodienne ou encore des dizaines de rumeurs infondées que les médias n’ont jamais cherché à démentir, même des années après les avoir colportées. Plus de 25 ans après cette sortie chaotique, WATERWORLD est pourtant devenu un véritable film populaire, qui a même fini par devenir une bonne affaire financière et qui divise encore l’opinion cinéphile. D’un côté, le dissident Stéphane Moïssakis et de l’autre, le militant Julien Dupuy. L

Ce petit podcast spécialement consacré à la comédie de Tsui Hark, LE FESTIN CHINOIS a été enregistré le 12 septembre 2020, à l’occasion de la première SÉANCE CAPTURE MAG au Club de l’étoile. Il s’agit d’une présentation du film enregistrée pour les besoins de l’édition DVD et Blu-Ray disponible chez Spectrum Films et menée par Arnaud Bordas, Rafik Djoumi, Julien Dupuy et Stéphane Moïssakis. Nous diffusons aujourd’hui ce podcast enregistré en live, à l’occasion de la ressortie du film en salles, ce 21 juillet.Pour nous soutenir, une seule adresse : https://fr.tipeee.com/capture-mag/Pour acheter le Blu-Ray du Festin Chinois : https://www.spectrumfilms.fr/En MP3 sur Acast : bit.ly/3kJj6v9Sur SPOTIFY : spoti.fi/3caW88GSur DEEZER : bit.ly/2wtDauUSur APPLE podcasts : apple.co/2UW3AyOSur Google Podcasts : bit.ly/39W69oRSur Soundcloud : bit.ly/3kLAgIG#TsuiHark #LeslieCheung #ChineseFeast Podcasts exclusifs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

SALE TEMPS POUR UN FILM, dernière ! En effet, cet épisode consacré à FAST & FURIOUS 9 est le dernier de la saison, avant la reprise de l’émission en septembre. Et autant émettre une petite notice rapide, à l’attention de tous les fans de la saga motorisée de Vin Diesel : si FAST & FURIOUS est vraiment très cher à votre cœur, passez votre chemin ! En effet, l’équipe a décidé de partir en vacances en fanfare puisque d’un côté, Stéphane Moïssakis profite du micro pour exprimer tout son dégoût pour cette franchise, ce qu’elle représente dans le domaine du cinéma d’action et sa fabrication pour le moins cynique. De l’autre, Yannick Dahan semble presque raisonné en comparaison, sans forcément défendre cet opus particulièrement oubliable et pauvre en action qui en fout plein les mirettes. Et au milieu, Clémence Gueidan admet avoir passé un bon moment, à condition de débrancher son cerveau ! Bref, autant dire qu’il était temps de prendre le large pour reprendre les affaires sereinement, à

Cinq ans après ELLE, Paul Verhoeven investit de nouveau le cinéma français pour tracer le portrait de Benedetta Carlini, une jeune nonne dont l’aura mystique sera remise en question par l’église, notamment à cause de son amour pour les femmes. Reconstitution historique, sujet sensible, budget fastueux et casting quatre étoiles, BENEDETTA avait tout pour jeter un joli pavé dans la mare du cinéma français… mais c’était sans compter sur sa tenue visuelle totalement informe et dépassée. Car sur le papier, BENEDETTA est un pur film de Paul Verhoeven, à la fois drôle, acerbe et bourré de symbolisme chrétien que le réalisateur hollandais s’amuse à détourner de manière particulièrement truculente au sein d’enjeux éminemment politiques, comme s’il s’était décidé à faire une version française de SHOWGIRLS avec des nonnes ! Du coup, on ne peut pas vraiment dire du responsable de SPETTERS, ROBOCOP ou encore BLACK BOOK qu’il se renie, ce qui tient finalement du miracle, surtout à l’âge de 83 ans. Est-ce que Clémence Gueid