Thewaycm French Podcast

McKenzie s'envole vers la Lumière + Merveilleuse Lumière McKenzie eut envie de vomir à l'odeur de souffre et de pourriture nauséabonde . Il en était anéanti ; délabrement putride et insalubre , puanteur de mort . Ajouté à cela , ce cri déchirant qui était d'une telle intensité et inimaginable de la part d'un être humain ! Involontairement , McKenzie laissa aussi échapper un cri , venu du très fond de lui-même ; un cri désespéré qui recelait toute la force de son désespoir . McKenzie sentit alors sa chute amortie par quelque chose d'invisible et dont il ignorait la provenance . Au lieu d'être aspiré dans la gueule de cet abîme noir et démoniaque , c'est à la vitesse de la lumière qu'il remonta vers un extraordinaire kaléidoscope de couleurs éclatantes et irisées . Transporté , Mckenzie baignait dans l'euphorie . Rempli d'une joie ineffable , il se laissa porter par ces bras invisibles tout en appréciant le voyage . Soudain Mckenzie se retrouva au cœur d'une indicible lumière . Il y avait des éclairs de coule

Une odeur ….et Mckenzie se souvient Ce fut tout d'abord l'odeur qui attira l'attention de Mckenzie .Elle le ramena au temps où il vivait à Kisimu , au Kenya .Il avait alors six ans . Sa famille vivait à l'abri d'une garnison militaire dans laquelle son père avait été affecté de façon inattendue . McKenzie s'était fait des amis parmi les autres enfants blancs mais c'étaient les petits Kénians qu'il préférait . Jamais auparavant il n'avait côtoyé d'enfants noirs. Blessing était un garçon d'à peu près son âge mais c'était leur seul point commun . Il avait une sœur prénommée Precious . Tous deux venaient chaque jour au camp .Et tandis que leur mère y faisait le ménage, ses enfants restaient assis sagement sur la pelouse impeccablement tondue . Quand c'était au tour de la maison de McKenzie , il sortait jouer dehors . Blessing adorait le football ,tout comme McKenzie d'ailleurs .Ils ne parlaient pas la même langue mais le foot ne connait aucune barrière de langue . Et au cours des passes viriles qu'ils échangea

McKenzie se sent extrêmement vulnérable ….. Dire que la maison de Sanjid était délabrée, relevait de l'euphémisme .Le vieux bâtiment extérieur tombait en ruines tout comme les murs intérieurs . De toute évidence ,les vitres n'avaient jamais été faites . Bien que jadis chatoyants, les rideaux élimés qui pendaient aux fenêtres affichaient un gris sale après avoir été décolorés par le soleil . Le tout tenait grâce aux toiles que des générations d'araignées avaient tissées soigneusement dans les trous béants et où d'innombrables mouches avaient été prises au piège dans ces cimetières collectifs . Mckenzie se baissa pour éviter le plafond très bas et entrer dans la pièce poussiéreuse où la rencontre devait avoir lieu . Sanjid lui fit signe de s'asseoir , Mckenzie s'assit donc en tailleur sur le plancher raboté. Sanjid refusait catégoriquement de travailler dans la briqueterie où sa famille était employée depuis son ouverture . Pour éviter d'y être contraint , il avait dégoté un petit boulot de commissionnaire pou

McKenzie et Son Aura Pendant toute cette période d'isolement qu'il s'était imposée , McKenzie n'avait pas fait beaucoup de sport mais il avait par contre forcé sur la nourriture . En conséquence , il avait pris quelques kilos .Pas au point qu'on le remarque , sauf bien entendu ….....lui! McKenzie sentait qu'il avait perdu de son aura . Son esprit et ses réactions n'étaient plus aussi vifs .Son ardeur et sa finesse s'étaient émoussées ; et tout cela lui déplaisait fortement .Ce n'était pas seulement dû à cette prise de poids , certes elle y avait contribué , non,... il y avait autre chose . L'isolement et le manque de contacts étaient aussi en partie responsables .Mais la raison principale de sa baisse de régime était de toute évidence liée au manque d'aventure . Au plus profond de lui-même, McKenzie était un drogué des sensations fortes et cela faisait longtemps qu'il avait e

McKenzie en quête de relation Mckenzie se retrouva à l'église .Il était quelque part dans le centre de l'Angleterre et c'était le début du printemps . Tout ce jaillissement de vie nouvelle lui sembla un temps propice pour rétablir des liens avec Dieu dans l'espoir de prendre un nouveau départ après un hiver d'isolement . Vue de l'extérieur , on n'aurait pas dit une église . C'était une ancienne usine dans une zone industrielle; çà plaisait bien à Mckenzie .Il avait en horreur la religion établie ; cette dernière a souvent entaché le vrai christianisme et il était devenu difficile de trouver ce christianisme non religieux .Qui plus est , McKenzie en avait fait la triste expérience et savait que religion et Christianisme sont comme les deux doigts d'une main , difficiles à séparer . Mckenzie fut accueilli chaleureusement quand il entra . Tout naturellement , il avança dans la salle principale au moment où l'orchestre commença à jouer .Cet orchestre était vraiment bon . Bonne présentation , bonne qualité de so

McKenzie Sort de l'Hibernation McKenzie surprit son reflet dans la vitrine d'un magasin .Il n'en crut pas ses yeux !Il avait tout l'air d'un paumé , de quelqu'un qui avait été séquestré au sommet d'une montagne ou au plus profond d'une jungle ou encore perdu dans un désert . Ébahi , il regarda tout autour de lui, essayant de comprendre le trop plein d'informations que lui renvoyait son environnement . On aurait dit un fou ,tremblant , trainant les pieds et cherchant à se tapir dans l'ombre . Ses cheveux étaient longs et sa barbe aussi .Il avait grossi et ses vêtements n'étaient plus de prime jeunesse .Sa vie de reclus , bien que productive , n'avait vraiment pas arrangé son image . Il avait peur et se sentait perdu dans cette ville , au milieu de tant de gens . McKenzie avait besoin d'un sérieux « ravalement ». Il commença par une bonne coupe de cheveux et l'entretien de sa barbe . Il n'était cependant pas prêt à la raser complètement , elle pouvait encore lui servir de camouflage .Il ne put supporter la co

Lueur d'Espoir pour McKenzie McKenzie scruta ,sans trop y croire , ce désert brûlé, espérant malgré tout apercevoir quelque chose ou quelqu'un , un semblant de vie , quelque chose ! Alors qu'il parcourait lentement des yeux cette étendue aride , désolée et inhospitalière ,il s'arrêta et reporta ses regards sur un tout petit point qu'il lui semblait apercevoir au loin . Ce dernier vacillait dans la brûme de chaleur . Était-ce le produit de son imagination ? Un mirage ? Çà valait le coup de s'en assurer ! McKenzie prit l'eau du bidon qui était dans le pick-up et en remplit sa gourde . Puis il se mit à marcher en direction de ce fragment d'espoir à peine visible. Au fur et à mesure qu'il approchait , la vision se faisait plus précise . Quand , il y parvint enfin , McKenzie découvrit avec bonheur qu'il était tombé sur un caravanserail : un lieu de repos et de ravitaillement au bord de la route pour les voyageurs après une journée de voyage . Ces lieux de passage permettaient , bien que sporadiquement , des écha

Coup de chaud pour McKenzie + Dieu répond à tous nos besoins Le vent tomba laissant McKenzie là ,assis , dans la chaleur infernale d'un soleil de plomb . Il lui semblait n'être plus qu'un morceau de viande sur une grille de barbecue , cuisant sous cette chaleur implacable . Il se concentra et tenta de se conditionner mentalement . Il essaya de ne pas transpirer mais la sueur se mit à perler sur son front et à dégouliner le long de son torse . Pas moyen ! Tout comme lui ,sa voiture avait chauffé sur l'unique route ensablée qui traversait la partie algérienne du Sahara de Reganne à Salah . Par précaution , il avait mis un bidon d'une vingtaine de litres d'eau à l'arrière du pick-up qu'il avait emprunté . McKenzie avait éteint le moteur afin de lui permettre de se refroidir . Et tandis qu'il attendait , ses pensées s'envolèrent de nouveau vers l'Espagne et Maria . Elle ne savait rien de ses plans , donc aucune torture , si dure soit-elle , ne pourrait le donner . Il espérait seulement qu'elle ne souffrirait pa

McKenzie en fuite + Libres comme l' Air McKenzie sentait l'impatience grandir en lui alors qu'il attendait l'arrivée de Maria . L'heure prévue de leur rendez-vous était largement dépassée . Leur complot avait peut-être été découvert , auquel cas ,les hommes de main de Don Pedro ne tarderaient pas à lui soutirer des informations et à remonter jusqu'à lui . Fuir pendant qu'il était encore temps ,était la solution la plus sûre mais cela signifiait qu'il abandonnait Maria . Alors qu'il réfléchissait à tout cela , il vit , dans le rétroviseur ,quelque chose bouger dans l'ombre . Ses instincts refirent brutalement surface et il eut une grosse poussée d'adrénaline . Il ouvrit la portière et se jeta derrière une grande poubelle que l'on venait de sortir de 'la Gaviota ' pour la collecte des ordures . Une balle ricocha sur le mur derrière lui . McKenzie se concentra très rapidement ,resta derrière la grosse poubelle et la poussa vers ses assassins . La rue descendait légèrement ce qui permit à Mckenzie de gagner du

McKenzie face à la réalité + Gardez-vous d'être troublés Au début ce fut comme un tout petit point au loin , très loin dans l'immensité de son cerveau . Assis dans son fauteuil inclinable ,il s'imprégnait du soleil au travers de la fenêtre de sa chambre et ronronnait presque comme un jeune chat , Il pencha la tête et observa les ombres et les lumières , projetées par les arbres du jardin et qui dansaient sur le mur .Un petit nuage passa devant le soleil ramenant McKenzie de son rêve éveillé à la dure réalité de la situation présente. Qui avait tué Helga et pourquoi ? Il n'avait pas eu d'autre choix que de s'enfuir la nuit où elle avait été tuée . Toute implication dans un meurtre aurait compliqué les choses . Il avait attendu le retour d'Helga avec le nom du contact qu'elle devait lui transmettre ; un nom qui l'aurait mené jusqu'au chef du Mouvement de Désarmement Unilatéral Russe .Celui qui avait tué Helga ne désirait visiblement pas que McKenzie soit en possession de ce nom . McKenzie savait que là desso

McKenzie à la rencontre de son passé A court de batterie sur son MP4 , McKenzie se mit à écouter des conversations personnelles, s'arrêtant sur celles qui l'intéressaient .De retour à Glasgow en Écosse ,McKenzie se trouvait dans un immense centre commercial qui était sorti de terre depuis sa dernière visite . Les centres commerciaux sont à la fois bruyants et fascinants . Des milliers d'anonymes fourmillaient de toutes parts . Chacun avait pourtant son histoire à raconter …....Leur souhait ,McKenzie le savait ,était de trouver une oreille attentive . Il y réfléchissait tout en sirotant son café , tendant machinalement l'oreille vers toute conversation qui attirerait son attention . « Salut fiston , la chaise est libre ? » McKenzie se tourna alors en direction de la voix qu'il venait d'entendre et aperçut un veil homme élégamment vêtu . Ses yeux étaient d'un bleu profond et la coupe de cheveux était récente . Il avait à la main un mug de thé et se tenait devant la chaise vide à la table de Mckenzie . « Ou

McKenzie et la Mercedes Mckenzie scrutait anxieusement l'apparition de Maria . Avant qu'elle ne l'aide à s' échapper de « La Dama de la Noche », ils avaient préparé ce rendez-vous avec soin . Maria avait décidé de rejoindre son père à Sao Paulo au Brésil . Ensemble , ils avaient échafaudé son évasion et arrangé ce rendez-vous dans le vieux Marbella . Mckenzie louerait une voiture et les emmènerait tous deux à l'aéroport de Malaga . De là , ils prendraient un vol pour Heathrow à Londres et de Londres s'envoleraient pour Sao Paulo . Don Pedro serait si préoccupé par la recherche de McKenzie , qu'ils réussiraient à se fondre dans la populace de Sao Paulo avant même qu'il ne réalise l'absence de Maria . McKenzie avait laissé de fausses pistes qui, il l'espérait , amèneraient Don Pedro à penser qu'il était parti dans le Nord de la France . C'est d'ailleurs ce que McKenzie affirma à l'employé de l'agence de location de véhicules à Puerto Banus .

McKenzie sur les sommets A une telle altitude ,sur les contreforts de l'Hymalaya ,l'air se raréfie dangereusement et il devient quasiment impossible de transpirer en dépit de la chaleur torride .Le teint écarlate de McKenzie était signe d'une tension artérielle par trop élevée . Son pouls battait si fort qu'il avait l'impression que sa tête et son cœur allaient exploser ! Il fallait deux jours de marche pour arriver au petit village de Khoplang dans le district de Gorkha. Une grande partie de la route poussiéreuse avait été emportée par les pluies torrentielles , rendant la marche difficile pour McKenzie et son guide Sherpa . Il leur fallait aussi patauger dans cette rivière en crue , ils n'avaient pas le choix! C'était le seul moyen de raccourcir considérablement le voyage! Cependant, quand le conducteur d'un vieux truck offrit de les emmener , McKenzie et son guide ne se firent pas prier en dépit du prix exorbitant , proposé en contrepartie . McKenzie avait une importante réunion avec Chitra , l'Ancien e

Stupéfaction . Maria ressortit de la pièce aussi vite qu'elle y était entrée , laissant derrière elle peu de dégâts . McKenzie était un peu perdu et se demandait bien ce qui se passait . Était-ce un stratagème pour l'intimider ? Avant d'avoir eu le temps de résoudre ce problème , la porte de la cabine s'ouvrit à nouveau brutalement laissant apparaître dans l'encadrement , la silhouette immobile de Maria . Elle était sur son trente et un dans une mini robe rouge .Un nuage de fumée montait d'une cigarette extra-longue qu'elle tenait du bout de ses doigts parfaitement manucurés . « Tu m'intrigues » roucoula -t-elle, jouant avec ses pensées et ses émotions . « On m'a donné l'ordre de te tuer pour mon plaisir , mais avant , j'aimerais savoir qui tu es. » McKenzie resta silencieux , ne laissant rien paraître . «Tu as une odeur qui me rappelle mon père ,jadis au Brésil. T'es peut-être mon père ? Elle laissa la question en suspens . « Je le hais .Il m'a abandonnée

McKenzie à l'heure du numérique - Tout Oeil Le Verra Mckenzie n'en revint pas lorsque le prédicateur , une fois sur l'estrade , annonça : « N'éteignez pas vos portables , vous pouvez passer des textos et des messages à vos amis sur tout ce qui se passe ici, sur Facebook et Twitter .Et ne vous gênez pas pour y joindre des photos et des videos ! » Presque aussitôt , les portables , tenus à bout de bras ,commencèrent à crépiter . D'autres balayaient lentement l'assemblée et le prédicateur de leurs objectifs . « Surtout n'hésitez pas à convier à cette réunion , tous ceux que vous contactez ,s'ils le peuvent . »ajouta le prédicateur . Sous peu , un défilé d' « amis » contactés sur ces réseaux sociaux commença à affluer dans l'église .Loin d'être gênants, ces appels avaient un effet extrêmement stimulant . L'église se sentait vivre , l'assemblée active et le prédicateur était plein d'entrain . Il se passait partout quelque chose . Dans le monde entier , ,les gens parlaient de cette réunion à laquelle assistait M

McKenzie a la vie sauve La condensation s'accrochait à la vitre comme le brouillard sur les sommets d'Écosse . Toutefois , McKenzie n'était pas en Écosse, la terre de ses Pères ; il était en Asie du Sud- Est ,à Myanmar plus précisément , à Mandalay City pour l'être tout à fait . Une goutte d'eau dessina une ligne sur la vitre embuée à travers laquelle on ne pouvait distinguer de la ville que des images floues et des silhouettes imprécises .McKenzie était en sueur et ses vêtements lui collaient à la peau .Il ne portait qu'un t-shirt et un bermuda et ceux-ci étaient complètement trempés . Il était seul mais la tête lui tournait encore de ce qui venait de se passer . Une cinquantaine de personnes ,en prière, s'était massée dans la petite pièce toute simple dans laquelle il se trouvait .Des prières comme jamais il n'en avait entendues !Des prières à voix haute , ferventes et passionnées . La plupart avait même pleuré et imploré Dieu le visage baigné de larmes . Tout à coup , la porte de bambou s'était ouverte

McKenzie a compris ... ! Avant que Mckenzie n'entende la clé à nouveau tourner dans la serrure de la cabine , il avait eu le temps de se remettre en position assise sur le sol , dos au mur . Au moins , ainsi , il pouvait voir ce qui allait venir . Quelle ne fut pas sa surprise de voir Maria entrer , seule . Il la regarda de la tête aux pieds ; comme d'habitude sa tenue et sa coiffure étaient impeccables . Ses yeux noirs fixaient le visage de McKenzie , levé vers elle . Il ne pouvait y déceler d' émotions si ce n'est une parfaite assurance .Elle avança lentement vers Mckenzie et se dit à voix haute : « Qu'est-ce qu'on va bien faire de toi? » McKenzie , toujours bâillonné et attaché , la regardait droit dans les yeux . Elle se pencha , saisit un coin du ruban adhésif qui lui couvrait la bouche et l'arracha d'un coup sec permettant ainsi à Mckenzie de parler . « Merci » dit-il avec une pointe de cynisme , bouche et mâchoires crispées . « De rien! » répondit Maria , sarcastique « Je veux pouvoir t'entendre q

McKenzie : l'intrigue dans l'intrigue ! Miguel envoya un message radio aux garde-côtes et à la police quant à leur prise inhabituelle . Bien avant d'atteindre la jolie plage de La Carihuela , il se rendit compte qu 'elle était déjà occupée par un important déploiement des services d'urgence et aussi bien entendu par la presse . Miguel donna l'ordre à ses quelques hommes d'équipage de décharger le poisson pendant que le filet , dans lequel les restes humains étaient encore emprisonnés , était hissé par un treuil installé pour la circonstance sur le sable . Il fut déposé sur une zone sécurisée et occultée . Les appareils- photos crépitaient et les caméras de télévision tournaient , essayant de prendre le moindre détail en vu d'un scoop . La foule des journalistes ,quant à eux , pressaient leurs micros ,sur lesquels on pouvait lire leur logo , contre le visage buriné de Miguel . En soixante-huit ans de vie , il en avait vu des choses mais là , c'était le pompom ! Il était terriblement affecté par sa maca

McKenzie prisonnier - La Crainte de l'Éternel Des bulles éclataient à la surface de l'eau puis s'éloignaient au gré de la marée tandis que le corps, lesté , coulait à l'abri des regards et sans un bruit ,à quarante mètres de fond dans la Méditerranée . Sur le rivage à La Carihuela , Miguel et son équipage préparaient leurs filets pour une nuit de pêche . McKenzie, bailloné et les mains liées , était assis sur une chaise , sur le pont du somptueux yatch de Don Pedro Dominguez, « La Dama de la Noche » . Il avait tout vu ! Paco , le chef d'équipage Colombien ,était tombé dans un piège et cinquante kilos de cocaïne pure avait été saisis par les autorités Colombiennes . Dans la fusillade qui s'en était suivie ,Paco avait réussi à s'échapper , avec juste quelques blessures . Don Pedro prit des dispositions pour le faire passer ,en toute sécurité ,à Marbella dans le sud de l' Espagne . Mais après en avoir discuté avec ses complices , Don Pedro ordonna tout bonnement son exécution . Le corps sans vie de

Les Chroniques de McKenzie Les histoires de Mckenzie ,qui vous parviennent chaque semaine , sont appelées à devenir un livre . J'espère qu'un grand nombre de gens ( Chrétiens ou non- Chrétiens)d'horizons et de culture différentes , se retrouveront d'une façon ou d'une autre , dans le personnage de McKenzie . L'idée est que vous et moi puissions nous identifier à McKenzie dans certaines situations et certains aspects de sa vie . Commentaires à partir des histoires de Mckenzie et notre Réflexion hebdomadaire (=The Gist). Jusqu'à présent , les histoires de McKenzie paraissaient en guise de réflexion sur notre page internet . Elles ne sont cependant pas à proprement parler des réflexions ; c'est la raison pour laquelle , à partir de maintenant , nous apporterons un « éclairage » ,une sorte de commentaire des versets cités dans l'histoire de Mckenzie et celui-ci constituera notre réflexion ( the Gist ) .McKenzie aura sa page internet et à la fin de l'histoire , un lien permettra , à ceux qui le souhaitent , de co